Tout savoir sur le content-spinning

Outre le travail on-site, l’un des grands axes de travail d’un référenceur consiste à créer une multitude de liens de qualité vers le site qui bénéficie des actions de référencement. Depuis toujours, la communauté des référenceurs s’est toujours accordée à considérer que le meilleur emplacement pour un lien se trouve à l’intérieur d’un article abordant une thématique en rapport avec la thématique de la page vers laquelle pointe le lien. Il appartient donc aux référenceurs de trouver ce que l’on appelle des “spots” pour placer des liens pointant vers les sites de leurs clients et de fournir les articles au sein desquels seront placés ces liens. Il n’y a pas meilleure méthode que de fournir les articles car on peut alors contrôler leur qualité, leur longueur, les ancres de liens, leur emplacement dans le texte, la coexistence de liens thématiques connexes afin de ne pas laisser d’empreintes, et leur nombre. Dans ce contexte, le content spinning s’impose comme étant la méthode de production d’articles la plus efficace et donc la plus rentable. Prenons un exemple concret : 2.000 articles de 300 mots rédigés par un rédacteur d’un bon niveau, vous coûteront, selon les prestataires, entre 85.000 et 200.000 €. Vous serez obligé de contrôler ces articles un à un et il est préférable qu’ils soient rédigés par un grand nombre de rédacteurs différents si vous souhaitez éviter de retrouver des tournures de phrases similaires d’un article à l’autre sur la même thématique. Pour comparaison, un spin 300 mots avec 4 variantes par phrase coûte autour de 1.600 € HT chez SpinWave et il permet d’obtenir plusieurs milliers d’articles ayant un taux de similarité maximum très bas (inférieur à 14 %). Cela signifie que dans le lot de 2.000 articles que vous recevrez à partir de votre spin, le taux de similitude maximum entre les 2 articles les plus proches sera de 14%. C’est extrêmement bas. Il n’est pas sûr que l’on obtienne mieux en faisant rédiger 2.000 articles sur le même sujet à 10 rédacteurs différents…

En quoi consiste le content-spinning ?

En quoi consiste le content-spinning exactement ? Cela consiste tout d’abord à rédiger un texte sur la thématique choisie, imaginons par exemple que l’on doive travailler pour un fabricant de mobilier de jardin. On pourrait imaginer une phrase comme celle-ci : « J’adorerais m’acheter un ensemble en résine tressée avec de gros coussins blancs en lin pour les disposer sur le pourtour en teck qui borde ma piscine. » Le content spinning va consister à rédiger des variantes qui vont permettre de générer ensuite des dizaines de variations pour la même phrase. Par des phénomènes combinatoires, ces dizaines de variations pour chacune des phrases de l’article, leur éventuelle permutation à l’intérieur du même paragraphe et la permutation des paragraphes eux-mêmes permet de générer des centaines d’articles qui diront sensiblement la même chose mais pas de la même manière. On regroupe les variantes entre deux accolades et on les sépare les unes des autres par une barre verticale qui s’appelle un pipeline : {variante 1|variante 2|variante 3|variante 4}.

Exemple:

{J’adorerais m’acheter un ensemble en résine tressée avec de gros coussins blancs en lin pour les disposer sur le pourtour en teck qui borde ma piscine|Je verrais bien une grande table ovale en teck avec 6 fauteuils à l’abri du soleil sous la pergola}.

On démarre tout d’abord par une variante de la phrase complète, tout en veillant à ce que ces variantes puissent s’insérer dans leur paragraphe sans provoquer de problème de sens par la suite.

Exemple :

“J’adorerais m’acheter un ensemble en résine tressée avec de gros coussins blancs en lin pour les disposer sur le pourtour en teck qui borde ma piscine. C’est en cherchant cela que je suis tombée sur le site UnoPiu, une véritable mine d’or pour tout ce qui concerne le mobilier de jardin !”

Passe aussi bien, dans le contexte que :

“Je verrais bien une grande table ovale en teck avec 6 fauteuils à l’abri du soleil sous la pergola. C’est en faisant une recherche sur Google que j’ai découvert le site d’UnoPiu, un fabricant spécialisé dans le mobilier de jardin haut-de-gamme !”

On va ensuite travailler les variations au sein de chacune des phrases pour obtenir un spin de la phrase qui pourrait ressembler à ceci :

{{{J’ador|Qu’est-ce que j’aim}erais |Je rêve d’}{acquérir|investir dans}|{Je rêve de|{J’ador|Qu’est-ce que j’aim}erais} m{e prendre|’acheter}} {un ensemble|d{u mobilier|es meubles} de jardin} en {{bois exotiqu|résine tressé}e|teck|fer forgé}{| avec {{|des galettes et }des coussins {rose fuchsia|de couleur|vert anis}|de gros coussins blancs{| en {lin|coton{| traité{| anti-déperlant}}}}}}{ pour les {dispos|plac}er|, je {serais alors en mesure de|pourrais alors} les {mettr{|e en plac}e|{dispos|i{mplant|nstall}|plac}er}} {{au bord de l|sur l{a plateforme|e pourtour} {carrelée|en teck} qui borde m}a piscine|dans le jardin{| au pied du{| grand} chêne}|sur la terrasse}.

Pour vous donner un ordre d’idée, le taux de spin pour cette phrase est de 80%. Notre minimum garanti est de 185%.

La mauvaise réputation du content-spinning est-elle justifiée ?

Jusqu’à présent, le point en défaveur du spinning c’était leur mauvaise qualité : fautes d’accord, de conjugaison, de grammaire, portions de phrases incompréhensibles voire loufoques, etc. Voilà précisément le premier critère de qualité qui distingue un spin qui provient de SpinWave : la qualité rédactionnelle des articles générés. Ils ne contiennent quasiment jamais de fautes, leur lecture est agréable, si on ne sait pas que l’article a été généré à partir d’un spin, il y a vraiment peu de chances de le deviner.

Nos standards à ce niveau sont les plus élevés du marché : sur un échantillon de 100 articles le taux d’erreur oscille entre 0 et 1 % du nombre total de mots, ce qui place les articles générés par nos spin-masters au même niveau que ceux d’un rédacteur Web de très bon niveau. L’autre point en défaveur du content spinning concerne le nombre de variations permis par un spin. Celui-ci est en effet très inégal et dépend de la qualité et du niveau de compétence de son rédacteur. Nous avons fixé des minimums de 185% de taux de variation et 80% de taux de perforation sur nos spins, ce sont sans doute les valeurs les plus élevées du marché, en particulier pour des spins qui produisent des articles parfaitement lisibles, agréables à lire, même, et qui ne contiennent quasiment jamais de fautes.

Alors, c’est quoi la recette pour faire des spins de qualité ?

Pour faire un bon spinneur il faut un excellent rédacteur. En effet, il ne suffit pas d’avoir un dictionnaire de synonymes sous les yeux pour faire un bon spin, c’est même probablement la pire manière de procéder. Pour faire de bons spins il faut avoir un niveau de maîtrise exceptionnelle de la langue française, il faut être passionné par la langue française ! Il faut savoir jouer avec les tournures de phrases, avec les antonymes, les périphrases, les paraboles, les litotes, les mots ou les portions de phrases inutiles qui peuvent aléatoirement disparaître…et pas seulement avec les synonymes. Il faut également une démarche qualitative qui tire constamment toute l’équipe vers le haut, avec des superviseurs ayant un niveau plus élevé que les spinneurs eux-mêmes, et de temps en temps, l’intervention ponctuelle de professeurs de français qui viennent encore parfaire la maîtrise des membres de notre équipe.

Enfin, l’expérience et la volonté de faire toujours mieux lorsque c’est encore possible nous ont amenés à développer des techniques spécifiques au content-spinning qui s’appliquent dès la phase de rédaction. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’on ne peut garantir la performance de nos spins qu’en rédigeant nous-mêmes dès le départ les textes qui seront spinnés.